Communication

La communication papier n’a pas dit son dernier mot

Durant ces derniers mois, l’impression sur papier avait fait les frais de l’essor de la communication digitale, au grand dam des nombreux professionnels qui ont fait faillite les uns après les autres. Pourtant, force est de constater que le support physique est loin d’avoir disparu selon le site envie-de-communication.fr. La communication visuelle demeure l’un des piliers du marketing et il ne doit pas négliger, en particulier par les grandes marques et les entreprises qui ont les moyens de s’afficher.

Le visuel imprime les esprits

Quoi que l’on en dise, l’image a cet effet marquant qui fait vendre. Souvenez-vous des images subliminales que les annonceurs américains glissaient dans les programmes télévisuels. Pouvoir acquérir de la visibilité en imprimant l’image de votre marque, votre produit ou le nom de votre entreprise sur des bâches de grand format reste très important.

Des supports et des idées originales

Tout est potentiellement un support publicitaire. Depuis quelques années, la communication dépasse le cadre des espaces dédiés pour s’afficher dans les stations et les véhicules de transport en commun, voire sur les automobiles des particuliers. L’on en trouve au sol, les escalators et dans tous les endroits où l’on pourrait un jour poser les yeux. Les graphistes redoublent d’inventivité pour trouver des idées toujours plus percutantes en jouant avec les éléments contextuels, comme les roues des véhicules par exemple.

Une meilleure perception des subtilités

Il existe des choses que l’on peut faire dans la communication visuelle sur papier qu’il est impossible, ou du moins imprudent de faire avec le Web. L’utilisateur d’internet est bien moins réceptif aux subtilités et aux jeux de mots, car ce public est culturellement dilué. Le papier affiché est donc un support sur lequel on peut se permettre plus d’originalité, faire des références, faire rire voire choquer, car cela entraîne moins de viralité et de réactions par commentaires que l’on a du mal à maîtriser.

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