Gastronomie

Cuisinier professionnel : le matériel indispensable

Si dans le dessin animé Ratatouille, il suffit de la motivation d’une armée de rats pour cuisiner, dans la réalité, d’autres besoins sont indispensables aux cuisiniers professionnels pour réussir leur recette. D’ailleurs, en tant que cuisinier professionnel, mitonner de bons petits plats repose en grande partie sur la recette, mais aussi sur la qualité des ingrédients utilisés. La préparation, la cuisson sont également indispensables pour y parvenir. Tout comme il convient de suivre une formation spécifique pour devenir cuisiner professionnel. Mais voilà, si le matériel est peu ou pas adapté, il est alors vain de proposer un plat, un dessert de qualité. Voici donc une nomenclature non exhaustive des accessoires intimement liés au cuisinier professionnel

Le matériel : le fleuron de la réussite en restauration

Le vêtement de travail

À l’image de plus de millions de professionnels qui portent un vêtement de travail aujourd’hui, les professionnels de la cuisine se doivent eux aussi de porter une tenue adéquate. Les vêtements professionnels, à l’image d’une veste de cuisine pour femme, s’adaptent à la morphologie de chacun, mais aussi aux évolutions du métier. Certains modèles intégrant même des textiles innovants pour proposer des vêtements toujours plus résistants – à l’image des modèles anti-feu par exemple – plus légers et de meilleure qualité.

Selon son domaine d’activités, le port d’un vêtement de travail est obligatoire. Ce dernier est alors adapté au corps de métier. Dans le cas présent, il protège des éclaboussures, des salissures, des microbes par exemple, mais surtout, il répond aux nombreuses exigences de propreté et d’hygiène. Normes assez strictes au demeurant en cuisine ! Adapté, le vêtement de travail permet d’avoir une tenue propre et saine pour confectionner de bons petits plats. Bien entendu, le vêtement répond aux attentes des utilisateurs, mais aussi du métier afin de permettre à tout à chacun, de travailler dans de bonnes conditions, en toute sérénité. 

Qu’il s’agisse de la veste de cuisine, du pantalon, le vêtement de travail facilite aussi la reconnaissance de tous. Vecteur d’image, relais des valeurs de l’entreprise et support de communication à part entière, la tenue professionnelle facilite la mobilisation de chacun. Portées en général huit heures par jour, les coupes et les personnalisations possibles aujourd’hui, le rendent bien plus attractif. De quoi séduire les utilisateurs, mais aussi les clients. 

Les ustensiles de cuisine

De nombreux ustensiles de cuisine sont mis à disposition par l’employeur. En effet, ces outils facilitent les préparations et permettent d’obtenir le résultat obtenu à l’image des casseroles en cuivre – qui permettent de poêler, de rôtir ou de baiser les aliments dans de bonnes conditions, car elles régulent mieux la chaleur – ou en inox, idéales pour faire bouillir de l’eau. Le matériel en lui-même est extrêmement important tout comme la qualité des produits choisis. Mais leur choix et surtout l’acquisition relèvent de la compétence de l’employeur. Ce qui est tout le contraire pour la mallette de couteux. D’ailleurs, il est impensable pour un cuisinier professionnel de ne pas se déplacer avec ses propres couteaux

Chaque cuisinier professionnel se doit de disposer de sa propre serviette de chef. Cette dernière regroupe alors les couteaux essentiels à tout professionnel de bouche qui se respecte. Mallette de couteaux qui peut au fil du temps et des besoins être complétée bien entendu : chaque couteau étant destiné à un usage particulier. Elle se compose donc de quelques basiques comme le couteau d’office. Couteaux multitâches qui permettent de découper avec précisions, d’éplucher, d’enlever le cœur des pommes, bref de tout faire. Pour ciseler, émincer, écraser ou encore concasser, l’éminceur ou le couteau de chef est également à mettre sur la liste. La lame fine et souple du couteau à filet facilitera le travail du poisson. Pour les viandes, certes le couteau d’office et/ou l’éminceur peut faire l’affaire, mais les plus puristes préfèreront le couteau à désosser.

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